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Borne hexagonale souple noire
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Borne hexagonale souple noire

Borne hexagonale souple noire à mémoire de forme, conçue pour le jalonnement urbain, les trottoirs et les parkings à vitesse modérée. Réalisée en thermoplastique élastomère teinté dans la masse, avec structure monobloc et traitement anti-UV, elle se déforme en cas de choc puis revient en position. Fixation par tirefonds et chevilles sur support béton ou enrobé.

  • Borne hexagonale souple noire pour jalonnement urbain et parkings.
  • Thermoplastique élastomère teinté dans la masse, structure monobloc.
  • Mémoire de forme, résistance de -20 °C à +60 °C.
  • Dimensions : hauteur 563 mm, piètement Ø 240 mm, poids 1,35 kg.
  • Fixation par tirefonds et chevilles (fournis) sur béton ou enrobé.
  • Couleur standard : noir. Autres couleurs possibles sur commande (vert, bleu, jaune, orange, blanc).
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Mode de fixation :
Hauteur hors sol (en mm) :
Dimensions (en mm) :
Matière :
Couleur :

40,90 € HT

49,08 € TTC
Réf. EX0090024 - Poids unit. 1.35 kg
Quantité

Description détaillée

Borne hexagonale souple noire – jalonnement urbain à mémoire de forme

La borne hexagonale souple noire est conçue pour le jalonnement des espaces urbains, trottoirs, parkings et accès de sites. Elle offre un repère visuel souple qui se déforme en cas de choc puis revient en position, limitant les dommages sur les véhicules. Elle s’adresse aux services voirie, aux collectivités et aux gestionnaires de parkings ou de sites privés qui recherchent une solution de balisage souple, complémentaire des bornes rigides et des balises plastiques souples.

Conception et matériaux

Cette borne hexagonale est réalisée en thermoplastique élastomère teinté dans la masse, avec une structure monobloc et un traitement anti-UV. Le matériau et la conception sont pensés pour un usage extérieur répété en milieu urbain, sans entretien particulier.

La borne mesure 563 mm de hauteur, avec un piètement d’environ Ø 240 mm et un poids d’environ 1,35 kg. La section hexagonale améliore la perception par les conducteurs par rapport à un simple cylindre, tout en conservant un encombrement limité au sol. La couleur standard est le noir ; d’autres couleurs (vert, bleu, jaune, orange, blanc) peuvent être envisagées sur commande.

Performances et capacités

En service, la borne hexagonale souple noire se comporte comme une borne à mémoire de forme : en cas de contact modéré avec un véhicule, elle se plie puis revient en position, ce qui réduit les risques de déformation définitive et limite les dégâts sur la carrosserie.

Elle joue un rôle de repère visuel et de jalonnement, par exemple pour marquer une limite de stationnement, un cheminement piéton ou la bordure d’une zone à protéger. Elle n’est pas prévue pour arrêter un véhicule ni pour remplacer une borne rigide ou un dispositif de retenue lorsque la protection physique est prioritaire.

Installation et pose

La borne hexagonale souple noire se fixe par tirefonds et chevilles (fournis) sur une dalle béton ou un enrobé présentant une portance suffisante. La mise en œuvre reste simple pour un service technique ou une entreprise habituée aux travaux de voirie légère.

Avant la pose, il est recommandé de :

  • vérifier la nature et l’état du support (béton, enrobé) ;
  • contrôler l’absence de réseaux ou de gaines dans la zone de perçage ;
  • définir l’entraxe entre bornes selon la largeur à protéger (passage piéton, accès véhicules légers, etc.) ;
  • positionner les bornes en cohérence avec les marquages au sol et les autres équipements de jalonnement.

Une fois les perçages réalisés, les chevilles sont mises en place puis les tirefonds assurent la fixation de la borne sur son piètement. Un contrôle périodique de la fixation et de l’état du support est conseillé, surtout dans les zones de manœuvre ou de trafic répété.

Scénarios d’usage

Cette borne hexagonale souple noire trouve sa place partout où l’on souhaite jalonner ou structurer un espace sans recourir à une borne rigide :

  • aménagements urbains : trottoirs, zones piétonnes, abords de places et d’équipements publics ;
  • parkings publics ou privés : séparation de zones, guidage de flux, protection douce de traversées piétonnes ;
  • sites d’entreprise et zones logistiques à vitesse modérée ;
  • accès de sites ou d’aires techniques où l’on souhaite marquer une limite de stationnement.

Limites d’usage

La borne hexagonale souple noire est adaptée aux zones de circulation lente ou modérée, en particulier en parkings et voies internes. Elle n’est pas conçue pour assurer une retenue de véhicule ni pour absorber des chocs à haute énergie.

Dans les configurations où la priorité est la protection d’un ouvrage, d’une vitrine ou d’un angle de bâtiment, il convient de prévoir des dispositifs rigides dimensionnés pour cet usage. La borne souple vient alors plutôt en complément pour structurer les flux ou matérialiser des zones de stationnement.

Compatibilité et produits associés

La borne hexagonale souple noire peut être associée à d’autres produits de la gamme pour traiter l’ensemble d’un site. Par exemple, une borne souple aspect fonte auto relevable pour les zones où l’intégration au mobilier urbain est prioritaire, des balises de renforcement comme la balise J11 auto relevable ou la balise J12 auto relevable pour mettre en valeur des marquages au sol, ou encore un poteau de délimitation souple réfléchissant dans les zones nécessitant une très forte visibilité.

Spécifications techniques

Structure Monobloc, thermoplastique élastomère teinté dans la masse
Hauteur 563 mm
Piètement Ø 240 mm
Poids 1,35 kg
Résistance thermique Environ -20 °C à +60 °C
Fixation Tirefonds et chevilles (fournis), sur béton ou enrobé
Couleur standard Noir
Autres couleurs Vert, bleu, jaune, orange, blanc (sur commande, sous réserve de quantité)

Questions fréquentes

À quoi sert une borne hexagonale souple noire ?
Elle sert au jalonnement et à la matérialisation de limites en cœur de ville, sur les trottoirs, dans les parkings ou sur des sites privés, en offrant un repère visuel souple qui se déforme en cas de choc puis revient en position.

La borne hexagonale souple peut-elle arrêter un véhicule ?
Non. C’est une borne souple à mémoire de forme conçue pour absorber des chocs modérés. Elle ne remplace pas une borne rigide ou un dispositif de retenue lorsque la protection physique d’un ouvrage est prioritaire.

Sur quels supports peut-on fixer la borne hexagonale souple ?
La borne est prévue pour être fixée par tirefonds et chevilles (fournis) sur des supports stables de type dalle béton ou enrobé présentant une portance suffisante.

Quelles sont les dimensions et le poids de la borne ?
La borne hexagonale souple noire mesure 563 mm de hauteur, avec un piètement d’environ Ø 240 mm et un poids d’environ 1,35 kg. Ces caractéristiques facilitent la manipulation tout en assurant une bonne tenue une fois fixée.

La borne existe-t-elle dans d’autres couleurs ?
Oui. La couleur standard est le noir, mais d’autres couleurs (vert, bleu, jaune, orange, blanc) peuvent être proposées sur commande, sous réserve de quantités minimales.

Quel entretien prévoir ?
L’entretien reste limité : un nettoyage périodique et un contrôle régulier de la fixation et de l’état du support suffisent en général, notamment dans les zones fortement sollicitées.

Foire Aux Questions

  • Quels sont les équipements concernés par la signalisation et le balisage urbain ?

    La signalisation et le balisage regroupent les équipements de guidage, d’alerte ou de séparation, notamment les cônes de signalisation, panneaux d'école, plots solaires, dalles podotactiles, séparateurs de voie ou encore clous podotactiles. Ces dispositifs sont indispensables pour assurer la sécurité des usagers et la conformité des aménagements selon le Code de la route et l'arrêté du 1er août 2006.

  • Quels équipements sont obligatoires pour la mise en accessibilité des ERP ?

    Les ERP doivent intégrer des bandes et dalles podotactiles conformes à la norme NF P98-351 pour avertir les personnes malvoyantes des zones à risque. Ces dispositifs sont exigés par l’arrêté du 1er août 2006 relatif à l’accessibilité, avec application des articles R.111-19-1 à R.111-19-3 du Code de la construction et de l’habitation. Leur implantation doit respecter les prescriptions du CEREMA.

  • Quelle est la durée de vie moyenne des équipements de balisage ?

    Elle varie selon le type de matériel : un plot solaire LED a une autonomie de 72 à 96 heures avec recharge solaire et une durée de vie de 5 à 7 ans. Les clous de voirie en inox peuvent dépasser 10 ans en environnement urbain stable. Les chaînes et rubans de balisage ont une durée plus courte (2 à 3 ans) selon l’exposition aux UV et aux contraintes mécaniques.

  • Quelle est la norme applicable aux cônes de signalisation ?

    Les cônes de signalisation doivent être conformes à la norme EN 13422, qui encadre leur visibilité, stabilité et efficacité en usage temporaire. En France, ils sont également soumis à des prescriptions de l’arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation routière temporaire, consolidées par les recommandations du CEREMA.

  • Comment assurer une séparation efficace des voies piétonnes et véhicules ?

    Des séparateurs de voie ou poteaux flexibles permettent de créer des cheminements sécurisés. Leur implantation doit tenir compte des prescriptions de l’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière (IISR) et des recommandations d’urbanisme tactique du CEREMA pour garantir lisibilité, continuité et respect des normes d’accessibilité.

  • Quels critères prendre en compte pour le choix d’un clou podotactile ?

    Outre la conformité à la norme NF P98-351, il faut examiner la matière (inox, laiton), la surface antidérapante, la résistance à l’arrachement et la facilité de pose (gabarit de perçage). Les clous doivent être espacés et alignés selon les recommandations du CEREMA pour garantir une détection tactile efficace et sûre.

  • Existe-t-il une norme pour les plots réflecteurs ou solaires ?

    Oui, les plots réfléchissants doivent répondre à la norme EN 1463-2, qui définit les performances optiques, la résistance mécanique et l’étanchéité. Les plots solaires LED doivent également satisfaire à des exigences de sécurité photométrique. Il est conseillé de privilégier les modèles testés selon ces normes et certifiés CE.

  • Comment anticiper l’usure des dispositifs de balisage temporaire ?

    Les chaînes plastiques, rubans de chantier ou balises pliables doivent être inspectés tous les 6 à 12 mois. Une décoloration, une perte de tension ou des ruptures signalent un remplacement nécessaire. Les collectivités doivent intégrer ces contrôles dans leur plan de maintenance sécurité ou via une grille de suivi issue des recommandations INRS.

  • Quelle est la réglementation pour les panneaux de signalisation d’école ?

    Ces panneaux relèvent du Code de la route (article R.417-10) et doivent respecter la signalétique officielle (type AB) avec pictogrammes normés. Les figurines pédagogiques sont tolérées en complément, mais ne se substituent pas aux signalisations réglementaires. Leur usage est recommandé dans les zones 30 ou périmètres scolaires définis par arrêté municipal.

  • Quels dispositifs privilégier pour guider les PMR ?

    Les bandes de guidage au sol et dalles podotactiles sont les équipements les plus fiables. Leur implantation doit suivre les prescriptions de l’arrêté du 1er août 2006. Les matériaux doivent offrir un contraste visuel et tactile suffisant. Les fiches techniques doivent garantir une résistance au glissement (R9 minimum selon DIN 51130).

  • Peut-on installer ces dispositifs en régie ou faut-il un prestataire certifié ?

    Les installations simples (rubans, cônes, panneaux amovibles) peuvent être réalisées par les services techniques internes. En revanche, pour les clous podotactiles, dalles ou plots fixés, il est conseillé de faire appel à un installateur qualifié. Certaines collectivités exigent la mention RGE ou équivalente pour les travaux sur ERP ou zones sensibles.

  • Existe-t-il des aides ou subventions pour ces équipements ?

    Oui. Pour les ERP publics, des subventions peuvent être sollicitées dans le cadre des Plans de mise en accessibilité (PAVE), ou via les crédits DETR. Certaines régions proposent également des aides pour la sécurisation des abords scolaires. Il est conseillé de consulter la DDT ou la préfecture pour connaître les dispositifs ouverts.