Traverse de protection

La protection des échelles de rack est un impératif de sécurité et de rentabilité dans tout entrepôt. Un choc de chariot, même à faible vitesse, peut compromettre l'intégrité de votre installation de stockage. Notre gamme de traverses de protection est conçue pour prévenir ces incidents coûteux. Que vous ayez besoin d'une solution flexible pour des largeurs non standards, d'une capacité d'absorption maximale des chocs ou d'une barrière robuste pour les angles, vous trouverez ici le système adapté. Découvrez comment choisir la protection qui correspond précisément à votre environnement opérationnel.

Foire Aux Questions

Est-il obligatoire d'installer des protections sur les racks de stockage ?
Bien qu'il n'y ait pas de loi qui l'impose de manière explicite, le Code du Travail demande à l'employeur d'assurer la sécurité et de protéger la santé de ses salariés. Les recommandations de l'INRS et des organismes de contrôle considèrent la protection des bases de rayonnages comme une mesure de prévention essentielle pour éviter les effondrements. C'est donc un standard de fait pour toute entreprise responsable.

Quelle est la différence entre une traverse et un arceau de protection ?
Une traverse est une lisse horizontale conçue pour relier deux poteaux ou sabots et protéger une longueur continue. Un arceau est une structure autoportante, souvent en tube cintré, idéale pour protéger des angles, des poteaux isolés ou des extrémités de rangées grâce à sa plus grande robustesse face aux chocs multidirectionnels.

Comment choisir la bonne longueur pour une traverse ?
Pour une traverse fixe, mesurez la distance "entre poteaux" à protéger. Pour notre traverse télescopique, choisissez le modèle dont la plage de réglage (ex: 90 à 135 cm) couvre votre mesure. Il est crucial de ne pas laisser de "jour" important entre la protection et le poteau.

Pourquoi utiliser un madrier en bois plutôt qu'une solution tout en acier ?
Le bois possède une capacité d'absorption des chocs que l'acier n'a pas. L'acier va se déformer ou transmettre l'intégralité du choc à la fixation et au sol. Le bois, lui, va se compresser, voire se rompre, en dissipant une grande partie de l'énergie. C'est une solution plus résiliente et plus économique à maintenir sur le long terme dans les zones à forte sinistralité.

Quel type de sol est nécessaire pour l'installation ?
Un sol en béton industriel, propre, sec et d'une épaisseur suffisante (généralement 15 cm minimum) est requis pour garantir un ancrage efficace des goujons. Les sols en enrobé (bitume) ou les dallages sur sable sont déconseillés car ils n'offrent pas la résistance nécessaire à l'arrachement.

Faut-il prévoir un entretien particulier pour ces protections ?
L'entretien est minimal. Il consiste principalement en une inspection visuelle régulière pour vérifier l'état des fixations au sol et l'absence de déformation suite à un choc. Pour les versions peintes, une retouche peut être nécessaire en cas d'éraflure pour prévenir l'apparition de corrosion.