- Nouveau

Description détaillée −
Conçu pour renforcer la sécurité de circulation aux intersections à visibilité réduite, ce miroir routier en inox poli intègre un système antigivre et antibuée passif garantissant une visibilité constante jusqu’à –20 °C, sans alimentation électrique. Il est conforme à l’arrêté du 21/09/1981 qui régit son usage en zone urbaine ou à circulation locale, sous conditions :
Ce miroir bénéficie d’un traitement thermique naturel : son système de désembuage fonctionne par différentiel d’absorption/rayonnement solaire, sans consommation énergétique. Il permet un usage efficace en toutes saisons, notamment :
Fabriqué par Kaptôrama, ce miroir est décliné en trois dimensions selon la distance d’observation souhaitée, et deux types de cadres adaptés à leur environnement :
Référence | Dimensions | Cadre | Distance max. | Poids | Garantie réflecteur / AG |
---|---|---|---|---|---|
FAR 4608 AG | 450 × 600 mm | PVC | 10 m | 6,6 kg | 10 ans / 6 ans |
FAR 4608 AG-JURA | 450 × 600 mm | Bois JURA | 10 m | 7,2 kg | 10 ans / 6 ans |
IBIS 6008 AG | Ø 600 mm | PVC | 12 m | 10,7 kg | 10 ans / 6 ans |
IBIS 6008 AG-JURA | Ø 600 mm | Bois JURA | 12 m | 12,6 kg | 10 ans / 6 ans |
FAR 6808 AG | 600 × 800 mm | PVC | 15 m | 10,8 kg | 10 ans / 6 ans |
FAR 6808 AG-JURA | 600 × 800 mm | Bois JURA | 15 m | 13,5 kg | 10 ans / 6 ans |
La fixation murale ou poteau (Ø 60–90 mm) est incluse. Pour des configurations spécifiques, plusieurs accessoires compatibles sont disponibles :
À noter : pour les sites ne nécessitant pas de traitement antigivre, le miroir routier inox standard reste une alternative économique.
Les miroirs inox antigivre Kaptôrama répondent aux besoins des mairies, DGS, services techniques ou entreprises VRD intervenant sur des voiries exposées. L’option antigivre permet d’éviter les interventions répétées et garantit un usage opérationnel toute l’année, même sans alimentation électrique.
L’équipe Equipexpert accompagne chaque projet d’aménagement via la page de contact, avec recommandation personnalisée selon l’exposition du site, les contraintes de pose et les critères esthétiques à respecter.
Les miroirs routiers sont régis par l'arrêté du 21 septembre 1981 modifié, qui définit les conditions d’implantation en agglomération. Ils doivent offrir un angle de vision de 90° à 130°, être installés lorsque la visibilité est inférieure à 20 m et respecter la signalisation de type M9z. Le CEREMA est l’organisme de référence pour leur mise en œuvre correcte.
En zone logistique ou industrielle, il est recommandé d’opter pour des miroirs en polycarbonate traité anti-UV ou en verre trempé avec film anti-éclats. Le polycarbonate offre une excellente résistance aux chocs et aux températures extrêmes, réduisant les risques de casse et les besoins de remplacement fréquents.
Le diamètre dépend de la distance entre le point d'observation et le miroir : 500 mm pour une distance ≤ 7 m, 600 mm jusqu’à 12 m, et 800 mm pour 13 à 20 m. Ces dimensions assurent un champ de vision optimal sans déformation, essentiel pour les manœuvres de véhicules ou d’engins de chantier.
Le miroir doit être installé à une hauteur de 2,30 m minimum pour éviter les collisions, incliné d’environ 15° vers le sol pour limiter les reflets solaires. La fixation doit supporter des charges ≥ 100 kg/m² pour résister aux vents violents. En milieu urbain, une implantation à 1 m du bord de voirie est recommandée.
Le retour sur investissement d’un miroir extérieur réside dans la diminution des sinistres routiers ou logistiques. Une collectivité peut réduire jusqu’à 80 % les accidents à un croisement mal dégagé, selon les estimations du CEREMA. La durée de vie des modèles professionnels dépasse 10 ans avec un entretien minimal.
Un nettoyage mensuel à l’eau douce est suffisant pour préserver la clarté visuelle. Il est conseillé de vérifier semestriellement l’état des fixations, particulièrement après intempéries. Les modèles avec traitement anti-buée ou pare-soleil nécessitent encore moins d’interventions.
Oui, certains miroirs sont conçus pour une double utilisation grâce à des matériaux adaptés. Le polycarbonate antichoc et le traitement anti-UV permettent une durabilité égale en intérieur (entrepôt, quai) comme en extérieur (parking, voie publique), optimisant les stocks pour les grandes entreprises multisites.
Les miroirs standards (500-800 mm) sont généralement livrés sous 3 à 5 jours ouvrés. Pour des modèles réglementaires ou sur-mesure (avec cadre rétro-réfléchissant, options pare-soleil), le délai peut atteindre 8 à 12 jours ouvrés selon le volume et les conditions logistiques.
Selon le Code du travail (articles R4224-17 à R4224-19), l’employeur doit garantir la sécurité de circulation des personnes et véhicules. En cas de zones aveugles, l’INRS recommande la mise en place de miroirs de surveillance pour répondre aux exigences de prévention des risques professionnels.
Le verre optique assure une restitution d’image supérieure, idéal pour les zones publiques. Le polycarbonate, plus léger et incassable, est recommandé en zone à fort risque d’impact (dépôts, entrepôts, chantiers). La décision dépend donc de l’exposition aux agressions mécaniques et du niveau de précision visuelle requis.
Un miroir routier est autorisé uniquement en zone agglomérée (≤ 50 km/h) et si un panneau STOP est en place sur la branche à visibilité réduite. Il doit être installé à moins de 15 m de la ligne d’arrêt et à une hauteur minimale de 2,30 m, conformément à la réglementation française en vigueur.
Les miroirs routiers doivent avoir un cadre rayé noir et blanc (bandes de 5 cm) et une forme convexe avec fond carré ou rectangulaire aux dimensions réglementaires (fond = 1,5 × le miroir) pour être conformes à la norme NF EN 12899‑1.
Le diamètre ou les dimensions du miroir dépendent de la distance de visibilité. Par exemple, un miroir ø 600 mm permet une visibilité jusqu’à 12 m, alors que ø 450 mm couvre environ 8 m. Il convient d’adapter la taille en fonction de la configuration du site.
L’installation en domaine public nécessite une autorisation municipale ou départementale selon le type de voie. Pour une installation privative, dès lors que le miroir dépasse sur la voirie, une autorisation est à demander à la mairie.
Le choix du matériau dépend des conditions : l’inox garantit une excellente résistance (zones côtières, climat rigoureux), le polycarbonate offre une forte résistance aux chocs, et les modèles antigivre ou antibuée sont recommandés en altitude ou zones humides.
L’entretien inclut un nettoyage régulier (débris, buée), un contrôle annuel de l’orientation et du positionnement, ainsi qu’un remplacement du miroir ou cadre en cas d’usure afin de garantir conformité et performance.
L’installation d’un miroir routier est une mesure économique face à des restructurations lourdes de voirie. Réduction des angles morts et prévention d’accidents (coûts assurantiels réduits) en font un investissement rapide à rentabiliser sur plusieurs années.
En France, l’autorisation municipale via mairie ou service voirie peut prendre de 2 à 6 semaines selon les collectivités. Une demande complète avec plan de situation, photos et justification réduit ce délai.
Vous aimerez aussi