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Description détaillée −
Lors d'une intervention d'urgence sur la route, d'un chantier nocturne ou d'un balisage en conditions météorologiques dégradées, être vu n'est pas une option, c'est une nécessité vitale. Le cône de signalisation rétractable et lumineux Mottez est conçu pour répondre à ce besoin critique de visibilité. Il associe la compacité d'un cône pliable, la hauteur d'un cône de route et la double technologie de signalisation active (LED) et passive (rétro-réflexion Classe 2) pour une sécurité sans compromis.
L'efficacité de ce cône repose sur la combinaison de deux technologies de visibilité complémentaires :
Cette double signalisation assure que votre zone d'intervention est signalée de manière optimale, que les véhicules approchants aient leurs phares allumés ou non.
Conçu pour les professionnels itinérants, ce cône allie performance et praticité. Sa grande hauteur de 72 cm lui confère une excellente visibilité de loin. Son système de pliage télescopique permet de le réduire à une galette de quelques centimètres d'épaisseur pour un rangement ultra-compact dans le coffre d'un véhicule ou une mallette d'intervention. Robuste, il est conçu pour fonctionner dans une large plage de températures (de -20° à +60° C), le rendant fiable en toute saison.
Référence fabricant | M005S72 |
Code EAN (Gencod) | 3234640055220 |
Hauteur déployé | 72 cm |
Signalisation active | 1 lampe LED (modes fixe et clignotant) |
Signalisation passive | 2 bandes rétro-réfléchissantes Classe 2 (EN 13422) |
Alimentation | 2 piles AAA / LR03 (non fournies) |
Plage de températures d'utilisation | -20°C à +60°C |
Ce cône lumineux est la solution tout-en-un pour les situations à haut risque. Pour les besoins de balisage d'urgence qui ne requièrent pas de signalisation active, le cône de signalisation rétractable standard est une alternative plus économique et tout aussi compacte. Pour compléter votre kit de sécurité embarqué, pensez à la mallette de 6 flashs à LED de chantier, qui offre des points lumineux supplémentaires à répartir au sol. N'oubliez pas que pour une signalisation réglementaire sur voie rapide, seuls les équipements homologués comme le cône de chantier K5A sont autorisés.
Quelle est l'autonomie de la lampe LED ?
L'autonomie dépend de la qualité des piles utilisées et du mode sélectionné (le mode clignotant consomme moins que le mode fixe). Avec des piles alcalines de bonne qualité, l'autonomie est de plusieurs dizaines d'heures, ce qui est amplement suffisant pour plusieurs interventions nocturnes.
Que signifie "bandes réfléchissantes Classe 2" ?
La Classe 2, définie par la norme EN 13422, correspond à un niveau de rétroréflectivité élevé. Cela signifie que les bandes renvoient une très grande partie de la lumière des phares vers le conducteur, les rendant beaucoup plus visibles de nuit et de loin que des bandes de Classe 1. C'est un gage de sécurité supérieure.
Le cône est-il étanche ?
Le cône est conçu pour résister à la pluie. Le compartiment des piles et le bouton de commande sont protégés pour éviter les infiltrations d'eau lors d'un usage normal sous les intempéries.
Ce cône est-il lesté pour résister au vent ?
Comme la plupart des cônes rétractables, il est conçu pour être léger et transportable. Sa base est large pour une bonne stabilité, mais il n'est pas lesté. Il est donc plus sensible au vent fort ou au souffle des poids lourds qu'un cône rigide de 5 kg.
La réglementation impose une hauteur minimale de 75 cm pour les cônes utilisés sur les autoroutes et les grands axes. Pour les chantiers de longue durée ou à fort risque, les modèles de 100 cm sont recommandés pour une visibilité maximale.
Pour les interventions de nuit, la norme exige au minimum des bandes réfléchissantes de classe T1. La classe T2 est préférable pour une visibilité supérieure à 400 mètres, notamment sur les routes à vitesse élevée.
Les cônes de classe 1 sont adaptés à une utilisation diurne, sur routes peu fréquentées ou en zone urbaine. Les cônes de classe 2 offrent une meilleure visibilité et sont requis pour les conditions nocturnes ou météorologiquement dégradées.
Oui, s’ils respectent les critères de visibilité, stabilité et dimension minimale imposés par la norme. Certains modèles lumineux sont conformes pour un usage sur voirie, à condition d'être équipés de bandes classe 2.
Sur autoroute, les cônes doivent être espacés de 30 mètres en amont de la zone de travaux. En zone urbaine, un espacement de 2 à 10 mètres est généralement suffisant selon la vitesse et la configuration de la voie.
Oui, dès lors qu’un chantier modifie la circulation ou présente un risque, des dispositifs de type K5a (cônes de signalisation) doivent être utilisés pour signaler la zone de manière visible et conforme.
Oui. Tout balisage modifiant la signalisation permanente doit être précédé de l’obtention d’un arrêté de circulation délivré par la collectivité gestionnaire de la voirie (mairie, département, préfecture).
Les cônes sont fabriqués en PEHD (polyéthylène haute densité) ou en PVC souple. Le PEHD est plus rigide et résistant aux UV. Le PVC est plus léger et flexible, adapté aux modèles rétractables.
Oui. Certains modèles sont compatibles avec des panneaux d'affichage, barres extensibles ou lampes LED clignotantes pour renforcer la signalisation ou informer les usagers.
La couleur réglementaire est l’orange, avec des bandes blanches réfléchissantes. D'autres couleurs (bleu, rouge, vert) peuvent être utilisées en zone privée ou pour des événements, mais ne sont pas autorisées sur la voie publique.
La désignation K5a fait référence à la classification officielle des cônes de signalisation dans l’Instruction interministérielle sur la signalisation routière. Ces dispositifs sont utilisés pour matérialiser un danger temporaire ou délimiter une zone de travaux. Ils font partie de la signalisation de position et doivent respecter les normes en vigueur (hauteur, réflectivité, stabilité).
La signalisation et le balisage regroupent les équipements de guidage, d’alerte ou de séparation, notamment les cônes de signalisation, panneaux d'école, plots solaires, dalles podotactiles, séparateurs de voie ou encore clous podotactiles. Ces dispositifs sont indispensables pour assurer la sécurité des usagers et la conformité des aménagements selon le Code de la route et l'arrêté du 1er août 2006.
Les ERP doivent intégrer des bandes et dalles podotactiles conformes à la norme NF P98-351 pour avertir les personnes malvoyantes des zones à risque. Ces dispositifs sont exigés par l’arrêté du 1er août 2006 relatif à l’accessibilité, avec application des articles R.111-19-1 à R.111-19-3 du Code de la construction et de l’habitation. Leur implantation doit respecter les prescriptions du CEREMA.
Elle varie selon le type de matériel : un plot solaire LED a une autonomie de 72 à 96 heures avec recharge solaire et une durée de vie de 5 à 7 ans. Les clous de voirie en inox peuvent dépasser 10 ans en environnement urbain stable. Les chaînes et rubans de balisage ont une durée plus courte (2 à 3 ans) selon l’exposition aux UV et aux contraintes mécaniques.
Les cônes de signalisation doivent être conformes à la norme EN 13422, qui encadre leur visibilité, stabilité et efficacité en usage temporaire. En France, ils sont également soumis à des prescriptions de l’arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation routière temporaire, consolidées par les recommandations du CEREMA.
Des séparateurs de voie ou poteaux flexibles permettent de créer des cheminements sécurisés. Leur implantation doit tenir compte des prescriptions de l’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière (IISR) et des recommandations d’urbanisme tactique du CEREMA pour garantir lisibilité, continuité et respect des normes d’accessibilité.
Outre la conformité à la norme NF P98-351, il faut examiner la matière (inox, laiton), la surface antidérapante, la résistance à l’arrachement et la facilité de pose (gabarit de perçage). Les clous doivent être espacés et alignés selon les recommandations du CEREMA pour garantir une détection tactile efficace et sûre.
Oui, les plots réfléchissants doivent répondre à la norme EN 1463-2, qui définit les performances optiques, la résistance mécanique et l’étanchéité. Les plots solaires LED doivent également satisfaire à des exigences de sécurité photométrique. Il est conseillé de privilégier les modèles testés selon ces normes et certifiés CE.
Les chaînes plastiques, rubans de chantier ou balises pliables doivent être inspectés tous les 6 à 12 mois. Une décoloration, une perte de tension ou des ruptures signalent un remplacement nécessaire. Les collectivités doivent intégrer ces contrôles dans leur plan de maintenance sécurité ou via une grille de suivi issue des recommandations INRS.
Ces panneaux relèvent du Code de la route (article R.417-10) et doivent respecter la signalétique officielle (type AB) avec pictogrammes normés. Les figurines pédagogiques sont tolérées en complément, mais ne se substituent pas aux signalisations réglementaires. Leur usage est recommandé dans les zones 30 ou périmètres scolaires définis par arrêté municipal.
Les bandes de guidage au sol et dalles podotactiles sont les équipements les plus fiables. Leur implantation doit suivre les prescriptions de l’arrêté du 1er août 2006. Les matériaux doivent offrir un contraste visuel et tactile suffisant. Les fiches techniques doivent garantir une résistance au glissement (R9 minimum selon DIN 51130).
Les installations simples (rubans, cônes, panneaux amovibles) peuvent être réalisées par les services techniques internes. En revanche, pour les clous podotactiles, dalles ou plots fixés, il est conseillé de faire appel à un installateur qualifié. Certaines collectivités exigent la mention RGE ou équivalente pour les travaux sur ERP ou zones sensibles.
Oui. Pour les ERP publics, des subventions peuvent être sollicitées dans le cadre des Plans de mise en accessibilité (PAVE), ou via les crédits DETR. Certaines régions proposent également des aides pour la sécurisation des abords scolaires. Il est conseillé de consulter la DDT ou la préfecture pour connaître les dispositifs ouverts.