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Balise K5C de renforcement temporaire
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Balise K5d de renforcement temporaire

La balise K5d autorelevable renforce le marquage au sol dans les zones de trafic. Fabriquée en PEBD souple, elle se redresse après un choc, ce qui réduit les interventions de maintenance et les coûts de remplacement pour les services de voirie.

  • Haute résilience : Sa structure en PEBD à mémoire de forme se redresse après chaque impact, réduisant les frais de remplacement.
  • Visibilité maximale : Dotée d'un film classe 2 haute intensité, elle assure une détection optimale de jour comme de nuit.
  • Sécurité passive : Son matériau souple limite les dommages aux véhicules et ne génère pas de débris dangereux en cas de collision.
  • Installation adaptable : Ses 3 systèmes de pose (à sceller, amovible, à coller) permettent de s'adapter à tous les types de supports.
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Mode de fixation :
Hauteur hors sol (en mm) :
Dimensions (en mm) :
Matière :
Couleur :
Origine France

31,90 € HT

38,28 € TTC
Réf. EX0090033 - Poids unit. 2.5 kg
Origine France
Quantité

Description détaillée

Balise K5d Autorelevable – Renforcement de marquage durable

La balise K5d autorelevable est conçue pour les gestionnaires d'infrastructures routières et les services techniques cherchant une solution de signalisation verticale à la fois visible et durable. Idéale pour renforcer un marquage au sol, matérialiser des îlots directionnels, des séparateurs de voie ou des chicanes, elle résiste aux conditions de trafic intense tout en minimisant les besoins d'intervention.

Conception et matériaux

Cette balise est conçue pour les zones de trafic et réduit les coûts de maintenance grâce à sa structure monobloc en PEBD. Fabriquée en France en polyéthylène basse densité soufflé, elle bénéficie d'une conception sans aucune pièce d'assemblage susceptible de se rompre. Sa base est renforcée pour mieux absorber les chocs. Le système de fixation est traité anticorrosion, garantissant une excellente tenue dans le temps, même dans des environnements salins ou humides.

Performances et capacités

Ce modèle assure une signalisation résiliente après un impact et diminue les interventions sur site grâce à sa fonction autorelevable. La "mémoire de forme" du PEBD permet à la balise de se redresser seule après avoir été heurtée ou écrasée par un véhicule, ce qui divise drastiquement les frais de remplacement et les interventions des agents de voirie. Le film classe 2 haute intensité assure une visibilité supérieure, essentielle pour la sécurité sur les voies à circulation rapide.

Installation et pose

La mise en place sur site est polyvalente et s'adapte à la nature du support grâce à trois systèmes de fixation distincts. Le choix de la pose dépend du besoin : la douille M12 à sceller offre une fixation permanente très robuste, la platine avec fourreau inox permet de rendre la balise amovible (pour des événements ou des travaux), et la galette à coller est une solution rapide pour les surfaces ne pouvant être percées. L'erreur courante est de sous-estimer la préparation du support, notamment pour la galette qui nécessite une surface propre et sèche.

Scénarios d’usage

Sa flexibilité la rend idéale pour renforcer la visibilité des aménagements de voirie où les chocs légers sont fréquents. Elle est très efficace pour baliser des entrées de parking souterrain, des voies de péage, des ronds-points complexes ou pour délimiter des pistes cyclables. C'est une excellente balise K5d à sceller pour un séparateur de voie, où sa capacité à encaisser les chocs sans se rompre en fait un choix économique et sécuritaire.

Limites d’usage

Conçue pour résister aux chocs et écrasements par des véhicules légers, cette balise n'est pas un poteau anti-bélier. Elle ne peut empêcher le passage d'un véhicule et n'offre pas de protection structurelle. Son efficacité et sa durabilité dépendent entièrement de la qualité de sa fixation au sol ; une pose mal exécutée compromettra sa capacité à se redresser correctement.

Compatibilité et produits associés

Cette balise K5d s'intègre dans des schémas de signalisation complexes. Pour un balisage temporaire de chantier, la balise K5C de renforcement temporaire représente une alternative mobile. Bien que la K5d ne nécessite pas de lestage, le concept de fixation robuste est partagé par des produits comme le Plastobloc pour signalisation temporaire, utilisé pour les installations non permanentes. Découvrez l'ensemble de nos solutions dans la catégorie Balises de signalisation temporaire.

Spécifications techniques

Type de balise K5d autorelevable
Matériau Polyéthylène soufflé (PEBD)
Structure Monobloc, base renforcée
Film Rétroréfléchissant Classe 2 Haute Intensité
Hauteur 735 mm
Diamètre 200 mm
Poids 2,5 kg
Systèmes de pose (en option) Standard (douille M12 à sceller), Amovible (platine + fourreau), À coller (galette Ø 300 mm)
Origine Fabriqué en France

Questions fréquentes

Que signifie "autorelevable" concrètement ?
Cela signifie que la balise est conçue avec un matériau à "mémoire de forme" (le PEBD). Après avoir été heurtée ou même roulée dessus par un véhicule, elle se redresse et reprend sa forme et sa position initiale d'elle-même.

Quel système de pose dois-je choisir pour ma balise K5d ?
La douille à sceller est la solution la plus durable pour un aménagement permanent. La platine avec fourreau est idéale si vous avez besoin de retirer la balise occasionnellement. La galette à coller est une option rapide et non destructive pour les sols comme les dalles de parking.

Cette balise résiste-t-elle à des chocs de camions ?
Elle est conçue pour résister à des chocs et des écrasements, y compris par des poids lourds à vitesse modérée. Cependant, elle n'est pas indestructible et un choc très violent ou à haute vitesse peut l'endommager ou l'arracher.

Faut-il un entretien particulier pour cette balise ?
L'entretien est minime. Un nettoyage périodique du film réfléchissant avec de l'eau et un chiffon doux suffit pour maintenir une visibilité optimale. Il est aussi conseillé de vérifier périodiquement le serrage de la fixation si elle est sur platine.

Foire Aux Questions

  • Quels sont les équipements concernés par la signalisation et le balisage urbain ?

    La signalisation et le balisage regroupent les équipements de guidage, d’alerte ou de séparation, notamment les cônes de signalisation, panneaux d'école, plots solaires, dalles podotactiles, séparateurs de voie ou encore clous podotactiles. Ces dispositifs sont indispensables pour assurer la sécurité des usagers et la conformité des aménagements selon le Code de la route et l'arrêté du 1er août 2006.

  • Quels équipements sont obligatoires pour la mise en accessibilité des ERP ?

    Les ERP doivent intégrer des bandes et dalles podotactiles conformes à la norme NF P98-351 pour avertir les personnes malvoyantes des zones à risque. Ces dispositifs sont exigés par l’arrêté du 1er août 2006 relatif à l’accessibilité, avec application des articles R.111-19-1 à R.111-19-3 du Code de la construction et de l’habitation. Leur implantation doit respecter les prescriptions du CEREMA.

  • Quelle est la durée de vie moyenne des équipements de balisage ?

    Elle varie selon le type de matériel : un plot solaire LED a une autonomie de 72 à 96 heures avec recharge solaire et une durée de vie de 5 à 7 ans. Les clous de voirie en inox peuvent dépasser 10 ans en environnement urbain stable. Les chaînes et rubans de balisage ont une durée plus courte (2 à 3 ans) selon l’exposition aux UV et aux contraintes mécaniques.

  • Quelle est la norme applicable aux cônes de signalisation ?

    Les cônes de signalisation doivent être conformes à la norme EN 13422, qui encadre leur visibilité, stabilité et efficacité en usage temporaire. En France, ils sont également soumis à des prescriptions de l’arrêté du 24 novembre 1967 relatif à la signalisation routière temporaire, consolidées par les recommandations du CEREMA.

  • Comment assurer une séparation efficace des voies piétonnes et véhicules ?

    Des séparateurs de voie ou poteaux flexibles permettent de créer des cheminements sécurisés. Leur implantation doit tenir compte des prescriptions de l’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière (IISR) et des recommandations d’urbanisme tactique du CEREMA pour garantir lisibilité, continuité et respect des normes d’accessibilité.

  • Quels critères prendre en compte pour le choix d’un clou podotactile ?

    Outre la conformité à la norme NF P98-351, il faut examiner la matière (inox, laiton), la surface antidérapante, la résistance à l’arrachement et la facilité de pose (gabarit de perçage). Les clous doivent être espacés et alignés selon les recommandations du CEREMA pour garantir une détection tactile efficace et sûre.

  • Existe-t-il une norme pour les plots réflecteurs ou solaires ?

    Oui, les plots réfléchissants doivent répondre à la norme EN 1463-2, qui définit les performances optiques, la résistance mécanique et l’étanchéité. Les plots solaires LED doivent également satisfaire à des exigences de sécurité photométrique. Il est conseillé de privilégier les modèles testés selon ces normes et certifiés CE.

  • Comment anticiper l’usure des dispositifs de balisage temporaire ?

    Les chaînes plastiques, rubans de chantier ou balises pliables doivent être inspectés tous les 6 à 12 mois. Une décoloration, une perte de tension ou des ruptures signalent un remplacement nécessaire. Les collectivités doivent intégrer ces contrôles dans leur plan de maintenance sécurité ou via une grille de suivi issue des recommandations INRS.

  • Quelle est la réglementation pour les panneaux de signalisation d’école ?

    Ces panneaux relèvent du Code de la route (article R.417-10) et doivent respecter la signalétique officielle (type AB) avec pictogrammes normés. Les figurines pédagogiques sont tolérées en complément, mais ne se substituent pas aux signalisations réglementaires. Leur usage est recommandé dans les zones 30 ou périmètres scolaires définis par arrêté municipal.

  • Quels dispositifs privilégier pour guider les PMR ?

    Les bandes de guidage au sol et dalles podotactiles sont les équipements les plus fiables. Leur implantation doit suivre les prescriptions de l’arrêté du 1er août 2006. Les matériaux doivent offrir un contraste visuel et tactile suffisant. Les fiches techniques doivent garantir une résistance au glissement (R9 minimum selon DIN 51130).

  • Peut-on installer ces dispositifs en régie ou faut-il un prestataire certifié ?

    Les installations simples (rubans, cônes, panneaux amovibles) peuvent être réalisées par les services techniques internes. En revanche, pour les clous podotactiles, dalles ou plots fixés, il est conseillé de faire appel à un installateur qualifié. Certaines collectivités exigent la mention RGE ou équivalente pour les travaux sur ERP ou zones sensibles.

  • Existe-t-il des aides ou subventions pour ces équipements ?

    Oui. Pour les ERP publics, des subventions peuvent être sollicitées dans le cadre des Plans de mise en accessibilité (PAVE), ou via les crédits DETR. Certaines régions proposent également des aides pour la sécurisation des abords scolaires. Il est conseillé de consulter la DDT ou la préfecture pour connaître les dispositifs ouverts.